> Votre panier (0 articles)
Vous êtes ici : Accueil > Catalogues > LES ECRIVAINS DE NORVEGE > Dictionnaire bio-bibliographique des auteurs > GARBORG, Arne
[NORVÈGE] (Time, Jaeren, 1851 – Asker, 1924). Arne Aadne Garborg. Romancier, dramaturge, poète, journaliste, il a participé activement aux divers combats littéraires et moraux qui agitaient la Norvège de la fin du XIXe siècle, notamment celui du combat linguistique (la propagation du néo-norvégien).
ANTHOLOGIES / REVUES
* « Jeunesse » (1885), nouvelle traduite du norvégien par Jean de Néthy, dans Nouvelles scandinaves, Nilsson, Albert Langen, 1894 / réédition dans Les Mille nouvelles nouvelles n°7, Paris, La Renaissance du livre, août 1910 et dans De Christiana à Oslo, L’Élan, 1991.
* « Mourir », nouvelle traduite du norvégien par Jean de Néthy, dans Nouvelles scandinaves, Nilsson, Albert Langen, 1894.
* « Vengeance », nouvelle traduite du norvégien par Auguste Desmoineaux, dans La Plume, 1903.
* « Pax hominibus », nouvelle traduite du norvégien par Aurélien Sauvageot, dans la Vie des peuples, 1922.
* « Conseils pour dormir » (1886), recueillie dans ses Récits de voyage, traduit du norvégien par Élisabeth et Éric Eydoux, dans Écrivains de Norvège, Amiot-Lenganey, 1991.
* « De l’argent », traduit du norvégien par Jean Orizet, dans Poésies du monde, Seghers, 2003.
LIVRES (Traductions)
[FICHE LIVRE] — Vengeance et autres nouvelles, traduites du norvégien par Auguste Desmoineaux et Jean de Néthy. [Nantes], Éditions de L’Elan, 2008, 64 p
Tour à tour, ironiques ou graves, les nouvelles présentées ici, évoquent plus particulièrement, sur fond d’émancipation féminine et d’hypocrisie religieuse, les rapports hommes-femmes (« Vengeance », « Jeunesse »), mais également de la perception que l’on peut avoir de la mort (« Mourir »). (Présentation de l’éditeur)
ETUDE
— Sidsel Cornier, John Millington Synge et Arne Garborg. L’homme et son milieu naturel : agressivité, passivité et harmonie. [Caen], Association des publications de la faculté de lettres et sciences humaines de l’Université de Caen, 1971, 200 pages, épuisé.
Haut de page >
Haut de page >
Certains livres défient les lois des classifications littéraires établies. Ni récit, ni roman, peut être un peu tout cela à la fois, donnant ainsi le sentiment au lecteur d’un livre qui s’écrit sous ses yeux, au gré des associations et rapprochements suggérés par l’auteur. Emblématique de ces textes, « Le livre des Passages »(Cerf) de Walter Benjamin, rédigé entre 1927 et 1929, se voulait une exploration rêveuse et inachevée des figures du XIXe siècle à travers des thèmes aussi divers et variés que l’oisiveté, l’ennui, les expositions universelles ou Baudelaire, figure incontournable de cette modernité naissante.
11 janvier 2021